mardi 11 avril 2017

un jour, il faut bien rentrer

Samedi matin, grand départ : 2h de bus, presque 15 heures d'avion en tout, une heure de voiture... 26 heures d'affilée. L'avantage, c'est qu'en arrivant le soir, il n'y a pas besoin de se forcer pour dormir et rattraper le décalage.


Le boulot est repris, les habitudes presque (avant de reprendre les françaises il faut parfois perdre les autres avant). Fini les vélos aux noms toujours aussi improbables, les paysages, le changement d'air et les moments inoubliables.

Allez, il y en aura d'autres, ici ou ailleurs.

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